À l'infini clémence
Quelques gouttes d'eau salées,
Sur un rêve suspendu...
Dans les airs d'un espace,
Aux éclats étoilés.
Et lumière de mon coeur
Et je voudrais étirer le temps.
Et tu sauras étirer ce temps...
Qui coule à l'infini,
À l'infini démence.
Comme un coeur qui bat,
Et qui soudain s’oublie...
Sous un rideau lunaire,
Quelques cris de chaleur.
Réchaufferont notre hiver.
Je te vie rouge et nuit,
D'Asphyxie de candeur.
Dessinant nos envies.
Et tu voudras étirer le temps.
Et je saurai étirer ce temps...
Qui coule à l'infini,
À l'infini clémence.
Comme un coeur qui bat,
Et qui soudain s’oublie...
Marie G.
Retour aux articles de la catégorie Mes écrits -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres