Méta-morphose
Méta-morphose
Dans la douce heure et la beauté de cette étrange obscurité
Je me meurs de ne savoir où l'illusion va m'emporter
Puis dans son antre me chavirer
- Ô heures tardives et si futiles -
Quand la tourmente de mon âme est effleurée par le mal,
Et que, cristallisée, là, se paraît une larme,
L'inertie m'envahit, abandon de l'esprit.
-Devant mon visage un futur paysage-
J'entrevois le départ,
Vers l'obscure vérité, d'un réel si troublant,
Un berceau étoilé.
- Une nuit enfantée -
Recouvrant l'infini, par un fil doré,
Mon corps, en partance comme régénéré,
S'envolera dans ce dessein, un dessin dévoyé.
M.G
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