L' Âme Des Maux

L' Âme Des Maux

Méta-morphose

 

 

Méta-morphose

 


 

Dans la douce heure et la beauté de cette étrange obscurité

 

Je me meurs de ne savoir où l'illusion va m'emporter

 

Puis dans son antre me chavirer

 

- Ô heures tardives et si futiles -

 

Quand la tourmente de mon âme est effleurée par le mal,

 

Et que, cristallisée, là, se paraît une larme,

 

L'inertie m'envahit, abandon de l'esprit.

 

-Devant mon visage un futur paysage-

 

J'entrevois le départ,

 

Vers l'obscure vérité, d'un réel si troublant,

 

Un berceau étoilé.

 

- Une nuit enfantée -

 

Recouvrant l'infini, par un fil doré,

 

Mon corps, en partance comme régénéré,

 

S'envolera dans ce dessein, un dessin dévoyé.



M.G



14/09/2009
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